Zeu Hi – Artiste peintre et plasticienne éclectique
Née le 22 octobre 1987, Zeu Hi est une artiste qui explore une multitude de styles et de médiums
avec une approche résolument libre et expérimentale.
Originaire de la Côte d’Azur, elle grandit à Sospel et étudie à Monaco avant de poursuivre son
parcours artistique à Paris et Versailles. Diplômée de l’école de trompe-l’œil Jean Sablé, elle débute
comme peintre en décors avant de délaisser les chantiers pour retrouver son propre espace de
création. De retour à Sospel, elle s’engage pleinement dans une démarche plus intime et
personnelle.
Une double exploration : illustration et peinture
Après une période de recherche, deux grands fils rouges émergent dans son travail :
• Les cœurs allégoriques en illustration, où elle traduit les émotions à travers des
compositions surréalistes aux encres à alcool, doublées d’une série équivalente aux pastels.
Ces cœurs deviennent le langage visuel de ses réflexions sur les sentiments et les
symboliques affectives.
• L’épopée de la Malmuse, une série picturale dédiée au nu masculin, où elle détourne
l’histoire de l’art en plaçant un modèle archétypal – La Malmuse – au cœur de ses œuvres.
Cet homme, grand, fin, à la chevelure bouclée, à la moustache espiègle et marqué par le
vitiligo, devient l’alter ego récurrent de ses peintures. Dans son tableau manifeste, Le Rapt
de la Muse, elle le fait traverser la porte du féminin sacré, inversant ainsi les rôles
traditionnellement attribués aux modèles dans l’histoire de la peinture. À travers des
pastiches et des réinterprétations d’œuvres célèbres ou méconnues où la Malmuse remplace
les femmes dans la composition des tableaux, elle propose une vision renouvelée de la
virilité, empreinte de douceur et d’humour, tout en interrogeant la place des femmes dans
l’art, souvent réduites à une présence érotisée, quel que soit le sujet.
Les Tutti Sexy et autres explorations
De cette démarche émergent d’autres séries, comme les Tutti Sexy, un potager fantasque né des
Cœurs allégoriques et de sa découverte d’une tomate Cœur de Bœuf . Cette collection de fruits et
légumes sexués, entre humour et revendication, célèbre la diversité des genres et clame haut et fort :
« Vulvala Révolution ! »
La Nature étant une source d’inspiration perpétuelle et infinie elle explore aussi le microcosme à
travers une série d’illustration sur les insectes qui deviennent de grands motifs de papiers découpés
est colorés, vibrants grâce aux encres à alcool.
Zeu Hi collabore également avec des journaux indépendants tels que Le Mouais et Le Chiffon,
apportant son regard artistique à des publications engagées.
Ces collaborations ont ouvert la voie à un travail en cours de portraits à l’encre.
Entre peinture, illustration et sculpture
Au-delà du papier et de la toile, Zeu Hi s’adonne aussi à la céramique, créant des têtes surréalistes
et tribales qui deviennent des écrins pour ses plantes et cactus, un motif récurrent dans son univers.
Elle façonne également des objets et sculptures en pâte polymère, explorant la matière et la couleur
dans un dialogue tactile et sensoriel.
Dans chacune de ses créations, Zeu Hi s’amuse à déconstruire, détourner et réinventer les codes
artistiques, affirmant une vision singulière, libre et vibrante.
👉 Ne ratez plus aucune expo ou nouveauté et inscrivez-vous à la Newsletter !
Née le 22 octobre 1987, Zeu Hi est une artiste qui explore une multitude de styles et de médiums
avec une approche résolument libre et expérimentale.
Originaire de la Côte d’Azur, elle grandit à Sospel et étudie à Monaco avant de poursuivre son
parcours artistique à Paris et Versailles. Diplômée de l’école de trompe-l’œil Jean Sablé, elle débute
comme peintre en décors avant de délaisser les chantiers pour retrouver son propre espace de
création. De retour à Sospel, elle s’engage pleinement dans une démarche plus intime et
personnelle.
Une double exploration : illustration et peinture
Après une période de recherche, deux grands fils rouges émergent dans son travail :
• Les cœurs allégoriques en illustration, où elle traduit les émotions à travers des
compositions surréalistes aux encres à alcool, doublées d’une série équivalente aux pastels.
Ces cœurs deviennent le langage visuel de ses réflexions sur les sentiments et les
symboliques affectives.
• L’épopée de la Malmuse, une série picturale dédiée au nu masculin, où elle détourne
l’histoire de l’art en plaçant un modèle archétypal – La Malmuse – au cœur de ses œuvres.
Cet homme, grand, fin, à la chevelure bouclée, à la moustache espiègle et marqué par le
vitiligo, devient l’alter ego récurrent de ses peintures. Dans son tableau manifeste, Le Rapt
de la Muse, elle le fait traverser la porte du féminin sacré, inversant ainsi les rôles
traditionnellement attribués aux modèles dans l’histoire de la peinture. À travers des
pastiches et des réinterprétations d’œuvres célèbres ou méconnues où la Malmuse remplace
les femmes dans la composition des tableaux, elle propose une vision renouvelée de la
virilité, empreinte de douceur et d’humour, tout en interrogeant la place des femmes dans
l’art, souvent réduites à une présence érotisée, quel que soit le sujet.
Les Tutti Sexy et autres explorations
De cette démarche émergent d’autres séries, comme les Tutti Sexy, un potager fantasque né des
Cœurs allégoriques et de sa découverte d’une tomate Cœur de Bœuf . Cette collection de fruits et
légumes sexués, entre humour et revendication, célèbre la diversité des genres et clame haut et fort :
« Vulvala Révolution ! »
La Nature étant une source d’inspiration perpétuelle et infinie elle explore aussi le microcosme à
travers une série d’illustration sur les insectes qui deviennent de grands motifs de papiers découpés
est colorés, vibrants grâce aux encres à alcool.
Zeu Hi collabore également avec des journaux indépendants tels que Le Mouais et Le Chiffon,
apportant son regard artistique à des publications engagées.
Ces collaborations ont ouvert la voie à un travail en cours de portraits à l’encre.
Entre peinture, illustration et sculpture
Au-delà du papier et de la toile, Zeu Hi s’adonne aussi à la céramique, créant des têtes surréalistes
et tribales qui deviennent des écrins pour ses plantes et cactus, un motif récurrent dans son univers.
Elle façonne également des objets et sculptures en pâte polymère, explorant la matière et la couleur
dans un dialogue tactile et sensoriel.
Dans chacune de ses créations, Zeu Hi s’amuse à déconstruire, détourner et réinventer les codes
artistiques, affirmant une vision singulière, libre et vibrante.
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